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financements - 27 février 2024

KGS, la start-up qui assure le « last miles delivery » avec ses véhicules électriques


Un partenaire financé par le Fonds de Transition Économique – Le Fonds de transition économique s’adresse à toutes les entreprises bruxelloises (Start-up, scale-up, PME) qui souhaitent réaliser des investissements en lien avec la transition énergétique, ce qui inclut l’efficacité énergétique, la transition vers une mobilité propre, les énergies renouvelables, l’économie circulaire, … pour un financement à partir de 80.000€


Pouvez-vous présenter votre activité ? On parle de « last miles delivery », mais qu’est-ce que cela signifie exactement ?  

Le « last miles delivery », c’est la livraison de colis sur les derniers kms. Plus concrètement, chez KGS, nous collaborons avec plusieurs plateformes d’e-commerce. Chaque jour, plusieurs camions viennent à notre dépôt décharger des centaines de colis.  Commence ensuite l’étape logistique, puisque les colis sont triés pour être répartis par villes et par quartier afin d’être livré au client final. Nous couvrons aujourd’hui toute la Belgique.

Vous venez d’effectuer une levée de fonds dans le cadre du fonds de Transition Économique. Quels sont les investissements / projets que vous souhaitez développer avec ce financement ? 

Pour le moment, nous avons investi dans une flotte de 20 vélos cargos électriques, mais aussi des camionnettes électriques, et du matériel de tri pour le dépôt. Par la suite, nous souhaitons créer des mini-hubs partout en Belgique pour assurer la livraison des « derniers kms » en véhicules électriques.

En quoi votre business model est-il inspiré de la notion de transition économique ? 

Le secteur des transports est connu pour avoir un impact important en termes d’émissions carbone. Nous, en tant que jeune entreprise, nous avons envie de contribuer à une évolution du secteur et de faire évoluer la mentalité de nos clients.

A Bruxelles, on voit qu’il y a de plus en plus de piétonniers par exemple, ce qui complexifie énormément les possibilités de livraison en centre-ville avec des véhicules classiques, car ces zones sont difficilement accessibles. Et dans ce contexte, le vélo-cargo est une solution ! 

Quelles sont les grandes évolutions qui, selon vous, vont marquer votre secteur d’ici à 2030 ?

Aujourd’hui, il existe de nombreuses inconnues concernant l’évolution du secteur. On parle beaucoup des véhicules électriques mais il y existe pas mal de contraintes : l’offre de vélo-cargos est assez limitée, les camionnettes électriques arrivent peu à peu sur le marché mais elles ont des niveaux d’autonomie assez faibles, et on ne sait pas non plus clairement quelle sera la durée de vie des véhicules électriques et de leurs batteries. 

Au niveau du marché, on évolue dans un système qui est en place depuis des années et qui fonctionne. Les grands acteurs se posent  beaucoup de questions mais les changements structurels représentent de gros investissements.  Si on regarde du côté des clients, certains recherchent déjà à se décarboniser , mais ce n’est pas la majorité, ce qui créé une certaine passivité.

Nous, on a voulu se lancer et faire le premier pas, pour apporter à notre client une vraie solution et les aider ainsi à se décarboniser avec des vélos-cargos et des camionnettes électriques.  Aujourd’hui, cela fait un an que nos vélos sont sur les routes et on obtient des résultats très satisfaisants. En tant que jeune société, on a plus de liberté pour tester de nouvelles approches.

Quels sont pour vous les avantages à collaborer avec un partenaire financier tel que finance&invest.brussels ?

Il s’agissait pour nous d’une toute nouvelle expérience car c’était vraiment notre toute première demande de financement. Ce qui nous a réellement marqué et ce, dès la première rencontre, c’est l’écoute et l’envie de nous soutenir.

Dans un premier temps, notre projet a été analysé en profondeur pour savoir si il était fiable ou non, et ensuite, nous avons vraiment ressenti que notre contact nous proposait des solutions, avec beaucoup de flexibilité, mais aussi des conseils pour nous diriger vers la meilleure approche : est-ce que c’est plus un prêt, ou est-ce que c’est plus un investissement ?

Il y a une vraie discussion, une vraie disponibilité, et des conseils qui nous ont tiré vers le haut, comme réaliser un bilan carbone. On sent le soutien, la curiosité pour le projet et les challenges auxquels nous sommes confrontés. Nous sommes supers contents et à refaire, on n’hésiterait pas !


Vous aussi, vous souhaitez réduire l’empreinte carbone de votre entreprise? Contactez-nous par email à l’adresse info@finance.brussels en mentionnant le fonds de transition économique dans l’intitulé du message ou via le bouton « demander un financement » disponible sur toutes les pages de notre site internet.


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financements - 21 octobre 2023

Sonian Wood Coop, une coopérative pour garder le bois local!

Créée par des professionnels du secteur, elle allie savoir-faire traditionnel et artisanat pour valoriser localement le bois de hêtre de la célèbre forêt au travers de produits de menuiserie durables qui peuvent désormais embellir l’intérieur des Bruxellois !

Interview de Stephan Kampelmann, co-fondateur de Sonian Wood Coop.

Quel est le projet d’entreprise derrière Sonian Wood Coop? D’où vous est venue l’idée de lancer la coopérative ?

Le début de notre histoire, c’est bien sûr la forêt de Soignes, cette grande foret péri-urbaine, située juste aux portes de Bruxelles. Et ce que beaucoup de Bruxellois ne savent pas forcément, c’est que c’est un écosystème qui produit beaucoup de matière, du bois en l’occurrence, et que ce bois n’est pas vraiment utilisé à l’échelle locale, puisque il est principalement exporté vers l’Asie.

A l’origine de notre coopérative, on retrouve la volonté portée par nos différents fondateurs de changer la donne et de relocaliser la valorisation du bois de la forêt de Soignes. Et depuis 3 ans et pour la première fois depuis longtemps, les gens peuvent maintenant acheter du bois issu de la Forêt de Soignes et le convertir localement dans des projets ici à Bruxelles.

Pouvez-vous me parler des produits que vous commercialisez ? Qui sont aujourd’hui vos clients ?

Nos clients ont pour la plupart, une relation émotionnelle avec la Forêt de Soignes et ce sont donc essentiellement des Bruxellois, ce qui fait aujourd’hui du sens avec la taille et la capacité de production actuelle de la Forêt.

Ceci dit, nous avons aussi des clients dans d’autres villes belges ou à l’étranger, mais ils ont toujours une relation avec la forêt et Bruxelles. Ce sont par exemple des soldats de l’OTAN ou des diplomates qui quittent Bruxelles et veulent emporter avec eux une table en bois issu de la Forêt de Soignes.

En termes de produits, notre coopérative organise vraiment toute la filière, nous achetons les arbres sur pied, nous les abattons, puis nous les transportons vers des scieries partenaires ou la nôtre située à Bruxelles.

Ensuite, la deuxième transformation, c’est la menuiserie notamment. Avec le bois, on peut vraiment faire plein de choses. Au fur et à mesure de notre activité, nous avons identifié plusieurs créneaux logiques pour le travail du hêtre : le mobilier intérieur, les revêtements de sol avec le parquet, mais aussi des projets sur-mesure comme les aménagements de bars, restaurants et d’autres projets immobiliers.

Comment est composée la coopérative et comment fonctionne-t-elle ?

Personnellement, j’ai une double formation d’économiste urbain et de menuisier. Je suis arrivé sur le sujet en analysant les statistiques des flux de matières à Bruxelles. Et j’ai cherché des exemples de modèles économiques dans d’autres pays qui valorisent le bois localement. 

Les autres coopérateurs viennent plus du terrain, ce sont des bucherons, des menuisiers, des gérants de scieries, etc. Toute la coopérative est composée d’indépendants qui font partie de la coopérative et se sont réunis pour pouvoir atteindre notre objectif de relocaliser la valorisation du bois de la Forêt.

Pour la conception des projets, nous en réalisons certains en interne et d’autres en collaboration avec des architectes d’intérieur ou des designers, par exemple, qui nous contactent. Mais notre équipe de base, c’est vraiment la production et la fabrication.

Qu’est-ce que cela représente pour vous d’entreprendre au sein d’une coopérative ?

Pour moi, le point fondamental de la coopérative, c’est le fait d’avoir une mission qui va au-delà de la génération de profits, comme c’est le cas au sein des entreprises classiques. Nous sommes face à une ressource naturelle, le bois, qui est en fait un bien commun qui traverse les générations.

Pour nous, il ne s’agit pas de s’accaparer d’une ressource commune pour générer des profits, mais d’utiliser une ressource avec une mission coopérative, tout en travaillant avec les acteurs publics, pour donner une nouvelle vie aux ressources naturelles de la Forêt.

Nous, nous sommes avant tout un ensemble de travailleurs du bois qui se sont regroupés au sein de la coopérative, afin de pouvoir vraiment organiser la coopération d’un ensemble de maillons indépendants, qui ne pourraient pas réaliser les projets sans cette collaboration.

Une entreprise classique aurait du mal aussi, car actuellement, chaque indépendant vient avec son matériel et la coopérative rend la collaboration beaucoup plus souple. Chez nous, la dimension sociale s’exprime au niveau de la gouvernance, de la manière dont nous prenons les décisions, cet aspect plus démocratique de la coopérative.

Notre mission est essentiellement environnementale. Nous devons maintenir un équilibre économique pour que cela fonctionne, mais notre mission est très claire, c’est la valorisation locale du bois et la coopérative était le meilleur instrument pour y parvenir.

En quoi Sonian Wood Coop est-elle différentes des autres entreprises de transformation du bois ?

Normalement, le bois, ce sont des chaines globalisées, où personne ne connait personne.

Ce sont juste des chiffres et des volumes qui traversent des containers et des fichiers Excel. Et nous, on est capables de travailler avec des êtres humains et entre êtres humains, en gardant aussi un esprit familial.

Notre entreprise a pour volonté de préserver l’artisanat et un savoir-faire traditionnel, tout en nous développant pour pouvoir étendre notre approche à l’ensemble de la production de bois issu de la Forêt de Soignes, ce qui est une trajectoire assez intéressante.

Vous avez récemment bénéficié d’un financement de la part de finance&invest.brussels, par l’intermédiaire d’une prise de participation via COOP US. Quels ont été vos besoins en matière de financement depuis les débuts de Sonian Wood Coop?

La première étape pour nous a été la constitution d’un capital de départ pour pouvoir constituer la coopérative mais aussi pour pouvoir réaliser les premiers achats de bois pour lancer l’activité. Ce premier montant, nous l’avons constitué grâce à un crowdfunding et donc grâce à la participation des Bruxellois.

Dans un deuxième temps, nous avons organisé une campagne de levée de fonds auprès des investisseurs à impact, dont finance&invest.brussels, ce qui nous a permis de mettre notre activité à l’échelle. Car le travail du bois se fait par paliers, avec l’achat de lots de bois, ce qui demande une certaine capacité d’absorption sur les plans opérationnels et financiers. Nous avons également fait l’acquisition de dettes.

L’année passée, nous avons procédé à une augmentation de capital auprès de deux financeurs, dont finance&invest.brussels, pour avoir plus de liquidités dans l’entreprise.

Comment avez-vous vécu votre expérience avec Brusoc et quels liens gardez-vous avec finance&invest.brussels actuellement ?

Cela se passe très bien. Comme notre activité est physique, on convertit des arbres en tables, c’est quelque chose qui prend du temps. C’est comme faire du vin ou du whisky, on doit respecter les cycles du bois, qui doit sécher par exemple. Et donc, nous avions aussi besoin de trouver des investisseurs qui puissent être patients, et comprendre aussi le rythme de travail de notre entreprise.

Et travailler avec finance&invest.brussels, c’était logique pour nous, de travailler avec un acteur qui souhaite créer un impact positif sur Bruxelles, tout en respectant le rythme du travail du bois. Pour nous, le fait de pouvoir procéder à une augmentation de capital après deux ans d’activité, c’est aussi la preuve qu’on évolue bien par rapport à nos objectifs annuels. C’est une très bonne relation de confiance qui s’est installée.  

Quelle est votre ambition pour les prochaines années ?

Notre ambition, c’est de valoriser l’ensemble de la production annuelle de la Forêt de Soignes. Aujourd’hui, nous pouvons absorber 10% de la production et nous avons pour objectif de grandir afin de doubler chaque année notre capacité de valorisation, car pour nous, il n’y a pas de justification à exporter la production de bois vers l’Asie.

On parle de plusieurs milliers de mètres cubes par an et nous souhaitons vraiment sortir de la niche et mettre en place une solution beaucoup plus large et toujours locale, pour le bois de la Forêt de Soignes.


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financements - 4 septembre 2023

BC Materials, une coopérative bruxelloise qui produit des matériaux de construction circulaires !

BC Materials, c’est une coopérative bruxelloise fondée par un groupe d’architectes qui se sont donnés pour mission de transformer les terres d’excavation en matériaux de construction circulaires ! Rencontre avec Anton Maertens, responsable du développement.

En quoi BC Materials est-elle une entreprise différente des autres sur le marché ?

Nous étions les premiers en Europe à transformer les matières d’excavation en matériaux de construction. En général, les terres d’excavation sont considérées comme des déchets, elles sont déposées dans des carrières et abandonnées, alors qu’elles ne sont pas polluées.

Ce sont donc des déchets générés par la construction que nous transformons.

De manière générale, nous privilégions aussi une approche circulaire :  nous utilisons essentiellement la terre des sites de construction situés à Bruxelles, nous produisons nos produits ici et nous les mettons à disposition des sites de construction bruxellois.

Mais si nous travaillons en France, par exemple, nous allons aussi utiliser les terres locales et produire sur place, en louant des machines pour tout réaliser localement. Notre machine de terre compressée est également mobile, ce qui veut dire qu’on peut la déplacer.

Chez BC Materials, nous n’utilisons pas d’énergie fossile car nos matériaux ne sont pas cuits, notre projet contribue donc à la diminution de la production de CO2. Et notre approche se veut maximaliste : tous les matériaux que nous utilisons sont à 100% recyclables, sans beaucoup de traitements.

En quelques années, BC Materials a remporté plusieurs prix pour son approche circulaire.

Avec BC Materials, nous voulons démontrer qu’une approche circulaire peut être rentable.

Quels sont les produits que vous commercialisez et qui sont vos clients ?

Nous proposons différents types de produits, comme les enduits de terre, les blocs de terre concassés, les cloisons intérieures, et une sorte de béton écologique qui peut servir pour les sols, les murs, des pièces de design et des meubles. On fait aussi de la recherche et du développement pour certains clients et projets.

En termes de rendu, la terre crue est différente des matériaux classiques mais on peut vraiment créer des rendus très différents en termes de couleurs, et il y a une demande de plus en plus forte pour ce rendu plus naturel.

Quelques échantillons des matériaux de construction circulaires produits par BC Materials.

La majorité de nos clients, ce sont des professionnels de la construction : des enduiseurs, des constructeurs. Mais on a aussi des particuliers qui recherchent ce genre de matériaux pour leur domicile. En parallèle, les acteurs de l’immobilier sont aussi en demande de solutions plus écologiques et locales et viennent chercher chez nous des conseils.

Pourquoi avoir choisi le modèle de la coopérative ?

Nous avons choisi l’approche coopérative car nous croyons au modèle économique. Nous tenons à partager les bénéfices avec nos employés mais aussi avec nos actionnaires, qui sont des Bruxellois, et permettre à ceux qui souhaitent s’associer à notre projet d’en récolter les fruits. Pour nous, c’est un modèle de croissance organique, complètement linéaire, et à taille humaine.

Comment la dimension « sociale » s’exprime-t-elle au sein de votre coopérative ?

L’objectif premier de notre entreprise, c’est d’avoir un impact ! Et pour nous, cela passe avant la profitabilité, qui est certes nécessaire, mais pas centrale.

Notre ambition est double : maximaliser l’utilisation de la terre brute et promouvoir la terre crue comme un matériau idéal dans la construction.

In fine, cela nous permet de diminuer les émissions de carbone dans la construction, qui est l’un des secteurs les plus polluants au monde, mais aussi d’améliorer la qualité de vie des gens qui vivent et travaillent dans ces structures.

A quels types de financement avez-vous fait appel pour financer la croissance de votre coopérative ?

L’an dernier, nous avons récolté 320.000€ en passant par une levée de fonds publique auprès des Bruxellois, pour continuer notre développement, avec des investissements en infrastructures, recherche & développement, marketing, …

Notre objectif était d’atteindre le cap de 700 tonnes de terres d’excavation recyclées, tout en développant de nouveaux produits. En finançant notre croissance par des levées de fonds, nos actionnaires sont beaucoup plus patients quand il s’agit de percevoir les dividendes.

Et en parallèle, nous avons fait appel à COOP US qui nous a permis de doubler le montant récolté.  

En quoi l’apport de Brusoc, filiale de finance&invest.brussels, vous a-t-il permis d’aller plus loin dans le développement de l’entreprise ?

En doublant le montant de notre levée de fonds, nous avons pu intégrer la recherche et le développement au cœur de notre activité et ainsi, renforcer notre approche commerciale, tout en étant désormais en contact avec plus d’architectes.

On espère aussi augmenter notre capacité de production et renforcer davantage notre impact. Dans le secteur de la construction, c’est vraiment important d’augmenter les volumes de production car les marges sur les matériaux sont assez réduites.

Nous avons pu constater une demande importante de la part des architectes de trouver des matériaux écologiques et bon marché. Et en réalisant ce scaling, nous allons pouvoir répondre davantage à cette demande.

Comment se passe la collaboration avec Brusoc, filiale de finance&invest.brussels, et quels liens conservez-vous aujourd’hui?

On reste en contacts réguliers avec l’équipe de Brusoc et cela se passe très bien.

A nos yeux, ce qui est très positif, c’est d’avoir une institution financière qui peut soutenir les coopératives, start-ups & entreprises qui œuvrent en faveur de la transition économique que nous souhaitons tous ! 


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Dans la presse - 31 janvier 2019

BEST WISHES 2019

31 janvier 2019

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