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Communiqué - 14 février 2023

110 entreprises bruxelloises soutenues en 2 ans grâce au prêt proxi

COMMUNIQUE DE PRESSE 14 février 2023

Bruxelles, le 14 février 2023. Deux ans après son lancement, le prêt proxi permettant le financement d’une activité bruxelloise d’indépendant ou de PME grâce à l’épargne de particuliers, confirme son envol. finance&invest.brussels a enregistré plus de 5,1 millions € de prêts octroyés par près de 1600 Bruxellois au bénéfice de 110 entreprises en Région de Bruxelles-Capitale.

Lancé en octobre 2020 à l’initiative du Gouvernement bruxellois, le prêt proxi permet aux particuliers de prêter de l’argent aux entreprises bruxelloises tout en bénéficiant d’avantages fiscaux sous la forme d’un crédit d’impôt de 4 % les 3 premières années et d’une garantie partielle de remboursement en cas de faillite. Il permet par ailleurs aux entreprises-emprunteuses de contracter auprès des particuliers un prêt au taux actuellement en vigueur oscillant entre 2,6 et 5,25 %. La durée est fixe de 5 ou 8 ans avec un plafond de maximum 250.000 €.

« En assurant la gestion opérationnelle du prêt proxi, finance&invest.brussels confirme sa mission première de faciliter et compléter la chaîne de financement des entreprises bruxelloises. Ce dispositif régional permet aux particuliers, appelés « Family, Friends and Fools », de prêter de l’argent moyennant des conditions fiscales avantageuses et des garanties régionales. C’est rassurant pour le candidat-prêteur et encourageant pour l’entreprise en recherche de financement. Le processus est donc gagnant pour tous les protagonistes », souligne Pierre Hermant, CEO de finance&invest.brussels

Dans le cadre de ce mécanisme, plus de 5,1 millions € de prêts sont actuellement enregistrés par finance&invest.brussels. Les investissements concernent 110 entreprises bruxelloises soutenues par 1588 prêteurs. Le bilan s’avère prometteur et démontre l’intérêt réel pour le prêt proxi en soutien à l’économie locale.

Le dispositif régional gagne en notoriété en 2022. En effet, 57 entreprises ont été soutenues l’année passée alors qu’en 2021, 43 entreprises en ont bénéficié. La même tendance s’observe pour le nombre de prêteurs : 766 prêteurs en 2022 contre 618 en 2021.

Le montant enregistré de prêt proxi reste quant à lui dans les mêmes tendances qu’en 2021 malgré une légère baisse : 2,2 millions € en 2022 au lieu de 2,4 millions € en 2021.

Les résultats affichent par ailleurs une augmentation de 10 % des entreprises ayant plus de 4 ans d’existence. Cela représente près de 70 % des entreprises emprunteuses.

Concernant les secteurs d’activité en tête de peloton, le commerce de gros et de détail représente plus de 25 % des entreprises soutenues, les activités spécialisées (activités juridiques, comptables…) représentent quant à elles plus de 15 % et enfin les industries manufacturières à hauteur de près de 10 %.

La mise moyenne par prêteur est d’environ 5.000 €, sachant toutefois que les montants sont très variés, de 20 € à 50.000 €. « Même un prêt d’une centaine d’euro peut faire la différence. On constate, en effet, que dans certains dossiers enregistrés, l’emprunteur parvient à rassembler un plus grand nombre de prêteurs autour de son projet entrepreneurial. La force de son réseau lui permet ainsi de répondre, même avec des petits prêts, à son besoin de financement », explique Ellen Hansen, Head of unit Produits automatisés & garanties chez finance&invest.brussels

Enfin, au 31 décembre 2022, aucune faillite n’a été constatée dans l’ensemble du portefeuille de prêt proxi et ce, malgré  le contexte économique difficile.

Barbara Trachte, Secrétaire d’État à la Transition économique : « Deux ans après son lancement, les nombreuses entreprises et les nombreux citoyens ayant fait appel au prêt proxi prouvent toute l’importance d’un tel dispositif mobilisant l’épargne des Bruxellois. Ces chiffres sont encourageants ! En outre, le dispositif se verra bientôt renforcé : à l’avenir, un avantage supplémentaire sera accordé aux projets exemplaires au niveau social ou environnemental. Pour ceux-ci, la garantie régionale en cas de faillite et d’impossibilité de remboursement passera en effet de 30 à 50% ».


Le projet d’ordonnance consacré à l’épargne citoyenne sera présenté en Commission des Affaires économiques ce mercredi 15 février.

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Communiqué - 24 décembre 2022

2 milliards d’euros de levées de fonds en Belgique en 2022

Etat du capital-risque en Belgique analysé par le département BI de finance&invest.brussels

COMMUNIQUE 24 décembre 2022

Bruxelles, 24 décembre 2022. Dans un contexte macroéconomique difficile et incertain, le département analytique Business Intelligence déployé par finance&invest.brussels décompte un montant record de levées de fonds en capital-risque en Belgique : 2 milliards d’euros levés en 2022 au profit de 286 entreprises. En région de Bruxelles-Capitale, 62 start-ups et scale-ups sont financées à hauteur de 672 millions d’euros, un montant également jamais atteint. En finançant 50% de ces entreprises, finance&invest.brussels s’avère être un investisseur très actif sur le marché bruxellois.

Un département de Business Intelligence a été créé en 2019 au sein de finance&invest.brussels en vue de soutenir le pilotage et les prises de décision internes. Sa mission intègre également une veille informationnelle du marché.

« En mettant en place une veille de marché, nous pouvons analyser les données collectées en vue de générer des informations pertinentes en lien avec notre stratégie d’investissement et de prospection. Nos bases de données – plus étendues sur notre marché que celles des data providers classiques – nous permettent de dégager une meilleure compréhension de notre écosystème, une analyse précise des tendances du marché et une identification de ses acteurs-clés. Notre mission première est de faciliter et compléter la chaine de financement des entreprises mais nous pouvons par ailleurs mettre cette expertise en data à disposition des entreprises de notre portefeuille qui souhaitent trouver des investisseurs dans leurs domaines », souligne Pierre Hermant, CEO de finance&invest.brussels. 

Dans ce cadre, un premier bilan sur les opérations 2022 de capital-risque en Belgique a pu être dressé. Les montants levés en capital-risque viennent de franchir 2 milliards €. Le montant record de 2021 (1,8 Milliard €) est donc dépassé. Ce nouveau record témoigne aujourd’hui d’une bonne résilience de nos start-ups face à l’environnement économique, et particulièrement dans le secteur de la santé, la fintech et dans le thématique « smart city & mobility », alors que les levées de fonds se contractent globalement de 20% au niveau européen (*) par rapport à 2021. Celle-ci était pour rappel  une année record de financement en capital-risque au niveau européen.

« La croissance des montants levés en Belgique a été générée uniquement par des grosses levées de fonds : 14 opérations de plus de 30 millions € représentent à elles-seules 1,06 milliard € de fonds levés. Au niveau du pays, le segment des levées de fonds entre 5 et 30 millions € connaît une relative stabilité. Cependant, les financements de moins de 5 millions (représentant 305 millions au total) se contractent actuellement de 20% », relève Sandrine Evrard, Business Intelligence Manager de finance&invest.brussels.  Cette diminution est par contre inférieure à celle de 30% observée au niveau européen sur ce segment. Le ralentissement du marché s’explique par un 4e trimestre significativement plus calme par rapport à 2021. On reste néanmoins sur ce segment sur des montants levés toujours supérieurs à ceux de 2020 en Belgique.

Au total, 286 opérations de plus de 200.000 € recensées contre 343 en 2021.

« 2022 est également marqué par une proportion plus importante d’investissements de suivi. En d’autres termes, les investisseurs existants continuent à soutenir leurs start-ups/scale-ups dans l’attente de meilleures perspectives de marché », poursuit Sandrine Evrard. Et de préciser : « L’environnement plus risqué et la hausse des taux d’intérêt contribuent à faire pression sur les valorisations ».

En région de Bruxelles-Capitale, un montant record de 672 millions € a été levé, dont 77% a été levé par 5 entreprises. Au total, 62 start-ups et scale-ups bruxelloises ont effectué une levée de fonds en 2022. « finance&invest.brussels confirme sa position d’investisseur fort actif sur le marché bruxellois puisque il a financé 50% de ces entreprises :  soit en ayant participé à l’augmentation de capital de 2022 (1 cas sur 4) ou soit en finançant l’entreprise par prêt convertible ou par prêt (1 cas sur 4)», conclut Pierre Hermant.

(*) Atomico – State of European Tech 22


A propos
Sandrine Evrard a une longue expérience en tant qu’Investment Manager, notamment au sein de finance&invest.brussels. C’est justement l’intérêt d’appliquer des techniques de data science et d’intelligence artificielle au secteur du venture capital qui l’incite à se former dans ce domaine. Après une première formation en 2018, d’abord à l’UCL, elle entame un master de spécialisation en data science et big data à l‘ULB achevé l’année dernière. 

Tout aussi convaincues du potentiel de cette approche analytique, deux autres personnes de l’équipe, dont le CEO de finance&invest.brussels, Pierre Hermant, ont emboîté le pas en suivant cette année une formation accélérée de data scientist au Wagon. Coder en python, analyser des ensembles de données, prendre des décisions complexes en utilisant la donnée et découvrir la puissance de l’intelligence artificielle, du Machine Learning et du deep learning pour résoudre des problèmes concrets.

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financements - 16 décembre 2022

Brusoc lance un produit financier hybride pour les coopératives

Urbike est la première coopérative à en bénéficier


Découvrez COOP US, un ensemble de solutions financières à destination des coopératives bruxelloises. COOP US offre plusieurs formules de financement pouvant aller jusqu’à 250.000€.


Brusoc la filiale de finance&invest.brussels spécialisée dans le financement adapté à la création ou à la croissance de petites entreprises, d’entreprises sociales ou de coopératives, ajoute une flèche à l’arc de son produit financier COOP US en combinant le prêt et la prise de participation (plus uniquement l’un ou l’autre), et en renforçant également ses moyens d’intervention jusqu’à 250.000 €.
Urbike est la première coopérative à en bénéficier.

COOP US soutient le développement d’une économie couplée à un projet sociétal pour la région bruxelloise et facilite le financement citoyen.

Retrouvez l’article complet sur : https://www.lalibre.be/economie/entreprises-startup/2022/12/15/urbike-leve-11-million-deuros-pour-changer-de-braquet-HW4M3AS4FND2VGXC4IC4HDB5LM/

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Communiqué - 20 octobre 2022

« Energy&Reno » : un nouveau prêt pour réduire la consommation énergétique des petites entreprises

Communiqué

Face à la hausse des coûts de l’énergie, le Gouvernement bruxellois mobilise l’ensemble de ses outils économiques afin d’aider les entreprises, et particulièrement les indépendants et les petites entreprises, à passer le cap de la crise tout en accélérant leur transition énergétique. C’est dans ce cadre qu’à l’initiative de Barbara Trachte, Secrétaire d’Etat bruxelloise à la Transition économique, finance&invest.brussels, via sa filiale Brusoc, lance dès ce jeudi 20 octobre le prêt « Energy&Reno ». Ce nouveau produit financier est destiné à aider les petites entreprises à diminuer leur consommation énergétique. Il s’inscrit dans le cadre du programme RENOLUTION.

Plus précisément, le prêt « Energy&Reno » doit permettre à ces entreprises d’investir dans du matériel performant, durable et à faible consommation et, par conséquent, de réduire les dépenses énergétiques et les émissions de Co2. Il vise ainsi notamment : les travaux d’isolation (toit, murs extérieurs, sol, vitrages performants), le système photovoltaïque, le système de chauffage (pompe à chaleur, chauffe-eau solaire…), la régulation thermique…

Ces prêts sans garantie, au taux préférentiel de 2%, couvrent des montants entre 10.000 et 150.000 euros, pour une durée allant jusqu’à 7 ans. Une période de franchise (où seuls les intérêts sont remboursés) de maximum 24 mois pourrait être accordée. Ces prêts peuvent être affectés à des investissements matériels mais également servir à couvrir la trésorerie nécessaire pendant la durée des travaux. Ils peuvent couvrir jusqu’à 100% du besoin financier. Par ailleurs, les investissements réalisés à partir de juillet 2022 peuvent être également pris en compte.

Ce dispositif s’inscrit dans le cadre du vaste programme RENOLUTION qui vise à rénover un maximum de bâtiments sur le territoire de la Région de Bruxelles-Capitale. Le prêt « Energy&Reno » est en ce sens complémentaire aux primes RENOLUTION qui, à Bruxelles, sont accessibles tant pour les particuliers que pour les entreprises.

Toutes les informations sont disponibles sur le site de finance&invest.brussels ainsi que sur le 1819.brussels

Barbara Trachte, secrétaire d’Etat à la Transition économique : « Les mesures prises par le gouvernement bruxellois face à la crise visent, d’une part, à protéger les entreprises et, d’autre part, à accélérer leur transition énergétique. Ce nouveau prêt à des conditions très intéressantes est l’un des dispositifs mis en place pour diminuer leur consommation d’énergie. D’autres dispositifs d’aides sont également prévus, parmi lesquels des primes prenant en charge une partie des surcouts de la facture énergétique. »
« Dans le contexte actuel, il nous paraît essentiel de mettre sur pied un outil de financement adapté pour les indépendants et petites entreprises qui souhaitent maîtriser le coût de leurs charges énergétiques et ainsi diminuer leurs factures. Le prêt Energy&Reno contribuera dès lors à une transition efficace de l’énergie de leur entreprise tout en améliorant leur rentabilité sur le long terme », souligne Pierre Hermant, CEO de finance&invest.brussels

Infos presse : Nicolas Roelens, porte-parole de Barbara Trachte 0485/89.83.95

Caractéristiques du prêt ENERGY&RENO

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financements - 5 octobre 2022

Niets, spiritueux 0,0% distillés traditionnellement

Véritable révolution dans le monde très confidentiel des métiers de la bouche, la start-up Niets ne cesse de faire parler d’elle depuis sa création. Médaillée d’or au très prestigieux prix Epicure en 2022 et élue « Meilleure distillerie Belge » deux années de suite avec son Gin Botaniets, elle lance aujourd’hui un nouveau produit, « Havaniets », un rhum sans alcool qui vient compléter une gamme déjà très prisée par la plus grands noms de la gastronomie.

Alexandre, d’où vous est venue cette idée de lancer Niets ?

Je dis toujours que j’ai 50 ans mais que ce n’est en aucun cas une « midlife crisis ». Je suis en réalité un sportif amateur, je fais du trail de long distance. En 2018, j’ai décidé de réduire ma consommation d’alcool, comme de plus en plus de personnes aujourd’hui. Et tout a commencé comme ça, dans les bois, en train de courir, à chercher des alternatives. Et à l’époque, en 2018, que ce soit du côté de la bière, du vin ou du spiritueux, il y a assez peu d’offre et surtout, peu d’alternatives véritablement intéressantes gustativement. Et cela m’interpelle.

Le temps passe et un jour, je repense à mon arrière-grand-père, Georges Niets, qui était botaniste et c’est l’élément déclencheur. Il faut savoir qu’en botanique, c’était d’ailleurs l’objet de ses recherches à l’époque, il existe un principe fondamental qui dit qu’en associant deux éléments, comme le basilic et le romarin par exemple, il est possible de créer un troisième arôme. Et en fouillant la bibliothèque familiale, je suis tombé sur ses écrits, dont un petit carnet bleu, mon « grimoire » dans lequel j’ai découvert une recette théorique destinée à produire des breuvages sans alcool, à partir de techniques de distillation.

On est en 2019, je sors d’un parcours au sein de plusieurs grands groupes, dont Spabel, Delhaize, BMW, … et je décide de fonder Niets pour offrir un produit bien fait, issu d’une technique de distillation traditionnelle, bon et bien présenté.

Et là, c’est un peu le parcours du combattant qui commence car je vais trouver de nombreux distilleurs belges avec mon petit livre bleu et on me rit au nez. Jusqu’au jour où je rencontre deux distilleurs aux Pays-Bas, dont le plus âgé à 86 ans et que 18 mois plus tard, je reçoive ce fameux appel qui me dit « Ca y est, on y est ! ».

Et la folle aventure démarre ! N’étant pas un expert, je décide d’aller faire gouter ma recette à des restaurateurs pour obtenir leur avis : Matagne, David Martin, Harpin, Dionisos, Bistro Emile, Racine, et d’autres et ils me disent tous que ce produit est un « gin » et qu’ils souhaitent le mettre sur leur menu ! Ils commandent, et en une semaine, j’ai vendu mes 120 bouteilles de dégustation. J’en sors ensuite 300, 600, 2000 et à chaque fois qu’elles sortent, je les écoule tout de suite.

En quoi la marque Niets se distingue-t-elle des autres marques « sans alcool » sur le marché ?  Qu’est-ce qui vous rend fier ?

90% des produits sans alcool sur le marché, c’est du thé, une infusion. Nous, on est 100% distillé, c’est pour ça que la gastronomie nous adore !

C’est un processus qui fait appel à un savoir-faire traditionnel. C’est tellement hors-norme que nous avons remporté de nombreux prix face à de grands noms : meilleure distillerie belge de l’année deux années de suite, une médaille d’or à New-York, on a aussi été sélectionné comme partenaire Gault & Millau pour l’édition de 2022.

C’est complètement dingue ! Deux ans et demi plus tard, j’en suis toujours à remercier mon aïeul. Grâce à lui, j’ai lancé 3 gins, sorti un rhum, créé 7 emplois et nous sommes en train de travailler sur de nouveaux produits !

Alexandre Hauben, CEO de Niets, a remporté de nombreux prix au cours des deux dernières années
Alexandre Hauben, CEO de Niets, a remporté de nombreux prix au cours des deux dernières années

Et ça ne fait que commencer ! Aujourd’hui, au quotidien, il se passe vraiment des choses qu’a priori, on ne pas prévoir quand on lance une start-up ! Et ce qui me rend fier, c’est d’avoir prouvé qu’en s’accrochant à une idée, on pouvait vraiment lancer un business durable. Pour le moment, nous sommes en train d’ouvrir l’exportation, de sceller des contrats de distribution à travers le monde, de renforcer nos équipes ! C’est totalement passionnant !

Qu’est-ce qui fait, selon vous, le succès de cette aventure ?

Ce qui est important, me semble-t-il, c’est de pouvoir trouver un équilibre, tant dans le cadre privé que professionnel. Au niveau professionnel, c’est très important de pouvoir compter à la fois sur son équipe et sur ses investisseurs. Ce sont eux qui rendent tout cela possible. Mais c’est un puzzle, tout doit être en équilibre pour que cela fonctionne !

Aujourd’hui, notre ambition, c’est de devenir le leader du sans alcool en Europe. Et nous avons déjà prouvé que c’était possible de changer la donne, en Belgique, avec une petite équipe.

Et là, je sais que mon expérience au sein de grands groupes m’aide au quotidien, à faire les bons choix, à trouver le juste arbitrage entre les opportunités, à être réactif aussi face à des signaux qui apparaissent parfois en quelques minutes !

A partir de quel moment dans le développement de votre entreprise avez-vous fait appel à des investisseurs et notamment à finance&invest.brussels ? Quels étaient vos objectifs ?

C’est très récent, cela date de juin 2022. Nous avons fait une demande de prêt convertible dans le but de supporter le développement de nouveaux produits et d’accélérer l’ouverture des premiers pays à l’export. Nous devons doubler nos équipes, deux ans après le lancement de la société. C’est fou !

Qu’est-ce que ça représente pour vous d’entreprendre à Bruxelles ?

Pour moi, c’est une fierté, ça fait partie de mon identité. Ca vient renforcer le dynamisme et la bravoure des entrepreneurs bruxellois. Et puis, c’est un contre-pied aussi. Parce que c’est plus facile de développer une entreprise en milieu extra-urbain, pour des raisons de couts, de complexité logistique.

Mais je suis Bruxellois, j’ai grandi à Bxl, j’ai bcp voyagé et je me sens redevable envers ma ville et ma région.

Mon rêve à court-terme, c’est d’ouvrir la première distillerie 100% sans alcool à Bruxelles.

3 mots-clés :

Persévérance, souci du détail et la débrouillardise : « être bricoleur, multi-tâches, et même parfois peintre et monteur de stand ».

Un conseil :

C’est toujours intéressant d’écouter les conseils et on en reçoit plein. Mais il faut aussi croire en son projet et rester sur sa ligne de conduite, continuer à apprendre et miser sur la persévérance, la sienne et celle de ses équipes.


J’ai été très impressionnée par ce que Niets a pu accomplir au cours des 2 dernières années, ainsi que par l’énorme potentiel qui les attend. Il s’agit notamment d’opportunités d’exportation, d’un élargissement de leur gamme et de la création de nouvelles recettes.

Elisabeth Leysen, Senior Financial Analyst


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financements - 5 octobre 2022

Mekanika annonce une levée de fonds d’1,5 million d’euros

Bruxelles, 27 septembre 2022

La start-up belge Mekanika annonce aujourd’hui une levée de fonds d’1,5 million d’euros auprès de multiples partenaires locaux, dont Beefounders, Change, finance&invest.brussels et Sambreinvest.

Credit photo – Meet my job

Face à la perte de compétences liées à la fabrication et à l’artisanat, Mekanika fait le pari de remettre l’outil à la portée des entrepreneurs, artisans et créateurs de nos régions grâce à des machines intuitives et modulables, des formations pour les utiliser, et des plans disponibles en open source.


Mekanika est née d’un double constat : d’une part, la plupart de nos objets quotidiens viennent de loin, et de l’autre, de plus en plus de gens sont attirés par l’artisanat local,” explique Roldan Descamps, un des trois fondateurs de Mekanika. “Cependant, s’il est très facile de trouver des clients locaux, et même de vendre en ligne, les barrières à l’entrée restent importantes : formation, accès aux outils, aux matières premières… Grâce à nos machines et tutoriels, nos utilisateurs peuvent commencer à produire en quelques jours, sans connaissances techniques préalables, et progressivement faire grandir leur activité.

Depuis sa création en 2019, Mekanika a lancé deux sets de machines populaires sur le marché, avec une gamme de presse à sérigraphie, et une autre pour le fraisage numérique sur bois et métal.

Ce qui a particulièrement retenu notre attention chez Mekanika, c’est la combinaison unique entre les possibilités de retour à une production locale et les perspectives de création d’emplois, que ce soit au sein de l’entreprise sur le sol bruxellois, ou, de manière indirecte, par le lancement de nouvelles activités à travers le monde” dit Christine Hick, investment manager chez finance&invest.brussels.

Avec une croissance annuelle de 300% depuis son lancement et plus de 800 machines vendues de par le monde, la start-up belge ambitionne de devenir le leader européen pour les machines de bureau déjà développées, avec le recrutement de 16 nouveaux collaborateurs d’ici fin 2023, et le lancement de deux nouvelles gammes de machines.


Depuis les premiers jours en 2019, les résultats de Mekanika ont été vraiment impressionnants et les fondateurs ont gardé le cap sur leur vision,” explique David Mellett, cofondateur et CEO de Beefounders.Je suis convaincu que l’open source hardware sera un accélérateur clé pour soutenir la production locale, la création d’emplois et le partage de connaissances.

À propos de Mekanika

Mekanika est une start-up belge basée à Bruxelles, dont l’ambition est de rendre l’entrepreneuriat local plus accessible. Depuis 2019, elle produit des machines de bureau destinées à l’impression textile et à la fabrication numérique de pièces en bois et en métal. Ces machines sont reconnues pour leur qualité et facilité de prise en main et leurs plans open source permettant aux entrepreneurs d’adapter leurs machines à leurs besoins spécifiques.

Contact presse : Roldan Descamps (roldan@mekanika.io – +32 498 45 24 72)

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événements - 4 octobre 2022

BeCentral fête son 5e anniversaire

Bruxelles, le 3 Octobre 2022

Jusqu’où ira BeCentral ?

Cinq ans après l’inauguration de ses premiers espaces, BeCentral poursuit son incroyable ascension. Le Roi Philippe s’est rendu aujourd’hui sur le campus de la Gare Centrale de Bruxelles, où il est allé à la rencontre de la communauté BeCentral pour parler du chemin parcouru et des prochaines étapes.

Promesse tenue

Il y a cinq ans, les cofondateurs de BeCentral avaient promis de réenchanter un lieu iconique du centre de Bruxelles, la Gare Centrale. « Nous avions promis d’en faire un lieu d’apprentissage, d’entrepreneuriat et d’inspiration numérique ouvert à tous. Le pari était loin d’être gagné d’avance. A l’ouverture, nous hébergions environ 50 entrepreneurs et 50 étudiants. Aujourd’hui nous sommes dix fois plus. Je suis très heureux de pouvoir montrer au Roi Philippe que notre communauté a tenu sa promesse » s’enthousiasme Laurent Hublet, le CEO de BeCentral.

Ensemble, les entrepreneurs, formateurs et investisseurs basés à la Gare Centrale ont permis à 425 000 citoyens belges de devenir des acteurs ou des créateurs du futur numérique(1). Parmi eux, 5 200 personnes ont suivi une formation qualifiante leur permettant de se (ré)orienter vers les métiers du numérique. Les écoles basées à BeCentral forment donc plus de 1000 nouveaux professionnels du numérique chaque année(2).

Au cours de sa visite, le Souverain s’est entretenu avec une dizaine de personnes en bifurcation professionnelle au co.searching de BeCentral. Ces personnes sont accompagnées par Actiris et un consortium d’ONG partenaires, dans un espace inspirant qui donne directement sur le grand hall de la gare. Le Roi a également rencontré les chercheurs de FARI, l’institut d’intelligence artificielle pour le bien commun de l’ULB et de la VUB. Ce centre de recherche de pointe, héritier d’une longue tradition de recherche en intelligence artificielle en Belgique, est appelé à grandir à BeCentral dans les prochaines années et à devenir un pôle d’excellence européen.

A l’occasion de sa visite, le Roi Philippe a pu constater que BeCentral est un endroit à nul autre pareil, que l’on vient voir de partout dans le monde. Un millier de personnes s’y croisent chaque jour. Des firmes privées, belges ou étrangères, des ONG et des organisations publiques y donnent la possibilité à chacune et chacun de bénéficier des opportunités de l’ère numérique, quel que soit son âge, son sexe, sa couleur ou sa culture.

(1) Impact cumulé sur 5 ans
(2) A titre de comparaison, il y a ~880 étudiants inscrits en dernière année « informatique & systèmes » et « informatique de gestion » dans toutes les hautes écoles francophones (source : Ares 2020-2021), et ~600 étudiants inscrits en MA2 informatique et MA2 Ingénieur Informatique (source : CREF, données 2019-2020)

Le lieu de développement des entrepreneurs digitaux de demain

Aux côtés des personnes en apprentissage, le campus héberge 300 entrepreneurs; certains débutent, comme les participants au programme WeAreFounders, et créent leur entreprise grâce notamment à Google for entrepreneurs. D’autres font croître des scale-ups, comme Rosa, une application de santé connectée qui a déjà permis 1 millions d’interactions patients. C’est ici que Sortlist ou RingTwice ont fait leurs premiers pas ; c’est ici que Orange a installé son digital center. D’autres encore sont mentors et investisseurs, via BeAngels, le plus plus grand réseau belge de business angels, également basé à BeCentral. BeAngels a soutenu en 5 ans plus de 220 start-ups et scale-ups, pour un montant de 24 millions €.

L’arrivée de Proximus-Ada pour grandir les cinq prochaines années

Clou de la visite royale à BeCentral : parlant des enjeux de souveraineté numérique, entouré de centaines d’élèves de l’Ecole 19, le CEO Proximus Guillaume Boutin a annoncé au Roi Philippe le choix du campus de la gare centrale pour héberger Ada, le centre d’excellence en intelligence artificielle et en cybersécurité du groupe. Cent cinquante spécialistes du numérique rejoindront progressivement la communauté BeCentral à partir de l’été 2023. Le campus occupera alors l’ensemble du bâtiment de la Gare Centrale, soit plus de 10 000 m².

Guillaume Boutin, CEO de Proximus :
« Proximus Ada est le premier centre d’expertise belge qui combine intelligence artificielle et cybersécurité. A travers Ada, nous mettons notre expertise dans ces deux domaines clés au service de la société belge. Nous voulons
ainsi stimuler le développement d’applications innovantes dans de nombreux domaines, renforcer davantage la cybersécurité de nos entreprises et de nos infrastructure critiques et assurer que la souveraineté numérique et technologique de notre pays reste assurée dans un monde en pleine mutation
».

Stephanie Cox, Managing Director de Proximus Ada :
« Le premier objectif d’Ada est de devenir un centre d’expertise pour toutes les entreprises du Groupe Proximus, tant en Belgique qu’à l’international. L’ambition d’Ada s’étend également plus loin ; nous voulons développer un véritable écosystème local, basé sur des partenariats solides avec des universités, des instituts de recherche, des entreprises et des gouvernements. Le déménagement vers BeCentral s’inscrit parfaitement dans ce contexte et devrait nous aider à nous développer davantage en un centre d’expertise à fort ancrage belge et de prestige international, capable d’attirer, de former et de retenir les talents locaux. Nous employons actuellement une cinquantaine d’experts, mais l’objectif est de tripler ce nombre dans les trois prochaines années ».

« Avec l’arrivée d’Ada, ainsi que le développement de l’institut FARI, BeCentral n’est plus seulement l’un des plus grands lieux d’apprentissage du numérique en Europe. Nous devenons l’un des lieux phare où on construit internet » conclut Laurent Hublet. « On dit qu’en Belgique rien n’est jamais possible. Qu’on n’ose pas être ambitieux. Avec la communauté BeCentral, nous sommes en train de prouver le contraire ».

BeCentral 5 ans d’activités en 10 dates clés :

• Octobre 2017 : Inauguration par S.M. le Roi Philippe. Le campus occupe alors ~1 500m².

• Avril 2018 : Ouverture du Google Digital Atelier, dans l’ancien réfectoire du personnel retraité de la SNCB, face au grand hall de la Gare Centrale.

• Été 2019 : Ouverture des extensions aux 1er et 2e étages (~1000m²), accueillant entre autres le Youth Campus.

• Janvier 2020 : Ouverture de l’Espace Public Numérique opéré par Bruxelles-Formation ainsi que du “Angels Hub”.

• Été 2020 : Extension au 3e étage de la Gare Centrale, accueillant notamment l’Ecole 19.

• Juin 2021 : La présidente de la Commission Européenne Ursula von der Leyen visite BeCentral et y signe le volet belge du Plan de Relance et de Résilience.

• Septembre 2021 : Lancement de WeAreFounders, une école entrepreneuriale de 9 mois opérée par BeCentral en partenariat avec Bruxelles Formation, Google et BeAngels.

• Février 2022 : Ouverture du co-searching, premier espace permanent dédié à la recherche d’emploi en groupe, opéré par Actiris et 5 ONG partenaires.

• Mars 2022 : Lancement de Code United, des stages d’apprentissage du code gratuits pour les 8-12 ans et organisés à Bruxelles, Gand, Anvers, Liège et Charleroi.

• Juin 2022 : Ouverture du FabLab d’Orange, dans une zone jusqu’alors occupée par les militaires qui surveillaient la Gare Centrale après les attaques terroristes de 2015/2016.

BeCentral et sa communauté en chiffres (impact 2017-2022)

• 1 000 personnes qui travaillent ou étudient sur le campus tous les jours

• 5 200 personnes ayant une formation qualifiante leur permettant de se (ré)orienter vers les métiers du numérique

• 8 000 m² d’espaces actuellement occupés (10 300 à l’été 2023)

• 110 000 adultes ayant suivi une formation de type “upskilling” dans les domaines numériques

• 310 000 enfants utilisateurs d’une solution développée par un résident de BeCentral

Contacts

Laurent Hublet, Managing Director, laurent@becentral.org, +32 479 83 88 47
Axelle Lormans, Responsable Communication, axelle@becentral.org, +32 470 05 74 15

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Dans la presse - 17 novembre 2021

Jusqu’à 80 millions d’euros pour booster les PME bruxelloises

Découvrez l’interview de notre CEO, Pierre Hermant, rédigée par Simon Souris et Pauline Deglume et parue dans le journal l’Echo du samedi 6 novembre 2021. Extrait : « finance&invest.brussels peaufine les derniers détails de son fonds de relance des beaux projets des PME de la Région touchées par la crise. Privé et public y seront associés à 50-50 »

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Dans la presse - 17 novembre 2021

Finance&invest.brussels, un invest en pleine croissance

Découvrez l’interview de notre CEO, Pierre Hermant, rédigée par Amandine Cloot et Véronique Lamquin et parue dans le journal Le Soir du mercredi 17 novembre 2021. Extrait : « En 3 ans, l’ex-SRIB a multiplié son portefeuille par plus de trois. Et ne compte pas en rester là, assure Pierre Hermant ».

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financements - 27 octobre 2021

SmartFridge lève 800k€ pour proposer des plats sains facilement accessible dans les entreprises.

Bruxelles, le 11 octobre 2021

Après plus d’un an de développement, la startup SF Company – SmartFridge a levé 800KEUR auprès de finance&invest.brussels, de BeAngels et d’investisseurs privés. Elle propose un tout nouveau concept de restaurants d’entreprises via un frigo connecté accessible 24/7. Avec un simple scan de QR code, les collaborateurs peuvent s’offrir des plats sains et frais, sans devoir se déplacer de leur lieu de travail. La startup espère pouvoir installer ces nouveaux frigos intelligents dans un maximum d’entreprise d’ici 2024. Les fonds permettront de renforcer l’équipe, de poursuivre le développement de l’application et du frigo connecté et de produire un nombre important de frigos.

En pleine crise sanitaire du Covid, Jean-Patrick Smal, CEO et fondateur de SmartFridge, a fait le pari de créer un frigo connecté pour proposer des plats équilibrés au sein des entreprises. Le défi était double : il fallait à la fois créer le contenant, à savoir le frigo, qui devait être intelligent pour pouvoir répondre aux demandes des utilisateurs, ainsi que son contenu : des repas frais et variés.

Accessibles à tout moment par les travailleurs de l’entreprise, les frigos SmartFridge peuvent être utilisés pour prendre un petit déjeuner, un déjeuner ou un plat du soir à emporter pour la maison. Le frigo intelligent est équipé de capteurs qui permettent de vérifier à tout moment le niveau d’humidité, la température ou plus simplement que la porte soit bien fermée. Pour prendre son produit, l’utilisateur, après avoir téléchargé l’application SmartFridge et créé son compte client, scanne le code QR du frigo, prend ce dont il a envie et referme simplement la porte du frigo. Il reçoit instantanément une notification de sa liste de course et de son débit. À l’image des Food shop Amazon aux USA, toutes les actions se font au seul moyen de son smartphone pour faciliter au maximum l’expérience utilisateur.

La startup approvisionne ses frigos de plats équilibrés et divers, créés par ses soins, et utilise sa technologie pour prévoir les recharges selon les consommations. Afin d’éviter de gâcher de la nourriture, SmartFrige s’est associé avec « Too good to go » pour reprendre tous les invendus. Quant aux emballages individuels, rendus obligatoires avec la crise sanitaire, « Ils sont tous compostables et recyclables » confie le CEO. La startup maîtrise sa chaîne de production, allant de la création des plats, aux transports et à sa technologie. « En maîtrisant la chaîne de production, nous pouvons tout de suite travailler à la source. Par exemple, si un client trouve un plat trop salé, on peut directement prendre en compte le feed-back et modifier notre recette. On veut que SmartFridge reste accessible pour des remarques, comme pour des suggestions ! ».

Un nouveau lieu de rencontre

L’équipe de SmartFridge souhaite que leurs frigos deviennent un nouveau lieu de convivialité, à l’image du rendez-vous à la machine à café. « Après de longs mois de confinement, les employés de retour au travail veulent à nouveau échanger entre eux. SmartFridge se veut un lieu d’échange et de bien-être ». Avec son écran personnalisable, le frigo devient également un outil de communication pour les entreprises, pour y annoncer la vue d’un nouveau collaborateur, un cours de sport ou encore d’un cocktail.

Actuellement présente à Bruxelles, la startup se lance dans le Brabant wallon et flamand, avec son application disponible en 3 langues (FR-NL-EN).

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